Ah oui, je viens pourtant juste de l’annoncer, ce point d’inflexion, et me voilà à revenir sur la direction que je me suis fixé. Mais ça n’est pas si grave, puisque si je me suis promis de ne plus descendre tous les fumiers, je ne me suis pas engagé pour autant à tous les épargner. Nous avons déjà parlé d’écologie (7 milliards de surendettés), nous voici sur la malbouffe. Je vais vous épargner un discours à mi-chemin entre Jean-Pierre Coffe et José Bové, pour tout simplement vous suggérer de suivre The Meatrix. Flash et anglais nécessaires, mais cela vaut le coup. Il y a à boire et à manger (si j’ose dire) dans ce site :

  • Contre : il ne faut pas oublier qu’à une époque, l’agriculture intensive a apporté de bonnes choses, que ce soit en terme de qualité ou de quantité, mais ce cap est passé, et le coût est plus important que le bénéfice
  • Pour : présenter le consommateur comme ayant un poid. Ces activités cesseront si le consommateur arrête d’acheter. Le mauvais coté de la chose, c’est que ça n’est plus le citoyen qui est au pouvoir, mais le consommateur (autrement dit, le plus riche a plus d’impact que le moins riche…) Mais le fait est qu’il reste un espoir de limiter les dégats de la production agricole massive dont :
    • la création de souches de microbes résistant aux antibiotiques
    • la désertification des campagnes
    • la cruauté envers les animaux
    • la pollution massive de l’environnement et tout particulièrement des rivières.