Ah, les brevets logiciels. C'est certes une menace pour les logiciels libres, mais aussi une bonne occasion de ricaner. Alors, ricanons ensemble !

  • Amazon
    • Vous vous souvenez du brevet pour le one click shopping d'Amazon, qui empêchait ses concurrents d'utiliser l'achat en un clic ? Jeff Bezos lui-même reconnaissait dans une interview que l'unique intérêt de la chose était de ralentir la concurrence.
    • Amazon goûte sans grand plaisir à l'effet Boomerang (aussi appelé double effet Kiss-cool par la jeune génération qui ferait bien de moins regarder la télévision) ; En effet, Amazon est rattrapé par un brevet d'Open Market sur le caddy virtuel
  • Microsoft
    • La firme de Redmond, plus prudente qu'Amazon (ou plus fourbe ?) continue de breveter des logiciels à tour de bras, dont la notion du bureau virtuel, alors que cela existe depuis des années dans différents systèmes d'exploitation (dont Linux).
    • Pour éviter de se faire attaquer en justice pour usage de technologies reprenant des brevets déjà déposés par d'autres entreprises, elle fait levier (encore une fois) sur son monopole. La technique est intéressante, car elle consiste à faire signer des contrats aux fabricants pour qu'ils puissent livrer Windows avec leurs ordinateurs. Ce contrat stipule que si MS viole un brevet du constructeur, ce dernier s'engage à ne pas l'attaquer en justice. Incroyable, non ? Seulement voilà, la Japan Trade Commission est tombé sur l'un de ces contrats lors d'une perquisition dans les locaux de MS. Microsoft s'est donc engagé à retirer des prochains contrats cette clause qui fache