Tristan Nitot chez Qwant

Alors voilà, après une bonne virée moto pour recharger mes batteries, je viens d’arriver chez Qwant, le moteur de recherche européen respectueux de la vie privée au poste de Vice-président Advocacy.

J’y retrouve d’anciens Mozilliens, et des figures de l’Internet français, dont Eric Léandri (président et fondateur de Qwant) et Guillaume Champeau (juriste et fondateur de Numérama/Ratiatum), sans oublier des équipes fort sympathiques et compétentes (j’ai vu quelques démos internes à couper le souffle).

Les valeurs de Qwant sont alignées avec les miennes, en particulier sur les notions de respect de la vie privée et des données personnelle et la souveraineté numérique. Le fait que chez Qwant Research le logiciel libre soit en plein essor[1] m’a donné l’envie de franchir le pas.

On me demandait hier sur Twitter ce que signifie le titre de mon poste, Vice-président Advocacy. Cela aurait pu être “Evangelist”, mais la connotation religieuse est gênante en France. Pour traduire advocacy en français, on dirait plutôt plaidoyer, que le Larousse définit de la façon suivante :

Plaidoyer, nom masculin : Discours ou écrit en faveur de quelqu’un, d’une idée, etc., ou qui combat une doctrine, une institution.

C’est bien ce que je vais faire : expliquer et promouvoir la mission de Qwant, ses valeurs, à l’oral et à l’écrit, en français et en anglais (Qwant a des filiales en Allemagne et en Italie). Les dernières actualités, dont les révélations du New York Times sur Facebook[2] qui offrait en open bar les données personnelles aux fabricants de téléphones montrent que la vie privée et la souveraineté sont des enjeux essentiels dans la révolution numérique. Qwant a des trésors de technologie (souvent sous licence libre !) sous le coude. Stay tuned!

Mise à jour du 8 juin :

Notes

[1] Il est un peu tôt pour en parler, mais je reviendrais sur le sujet, comptez sur moi !

[2] Voir en français l’article du Figaro