• Excellente nouvelle sur le front des brevets logiciels : Michel Rocard va mener l'opération au nom du parlement (qui avait rejeté les brevets logiciels) face au conseil (qui les avait approuvé). Reseaux et Telecom titre Le Parlement européen durcit le ton sur les brevets logiciels. En effet, Michel Rocard a une position clairement opposée aux brevets logiciels. L'espoir renaît !
  • Lu sur SpreadFirefox, toujours créatif dans la promotion de Firefox. Avec l'opération Windows Cleanup : une équipe propose aux étudiants d'une université de nettoyer leur machine Windows des virus, malware, adware et compagnie, tout en expliquant comment éviter de se faire attaquer à nouveau. En prime, Firefox est installé sur toutes les machines.
  • Très préoccupant : comment tuer un site Web avec un seul mail. Un groupe néerlandais a créé 10 sites chez 10 hébergeurs. Sur chaque site a été publié un texte d'un auteur mort il y a 117 ans et qui, par conséquent, a vu son oeuvre tomber dans le domaine public. Une notice, sur chaque site, précisait cet état de fait. Puis le groupe, se faisant passer pour un représentant légal de l'auteur, a utilisé un compte Hotmail (donc invérifiable) pour demander à chaque hébergeur de retirer le contenu (pourtant parfaitement légal). Et sur les 10 hébergeurs, 7 ont obéi en dépit de l'impossibilité de vérifier l'origine et la légalité de la demande. Pire, 3 ont obtempéré en moins de 24 heures. L'un d'eux a même spontanément envoyé les coordonnées de la personne détenant le compte utilisé pour la publication, alors qu'on ne lui demandait même pas. Consternant.
  • Vous connaissez le Klingon ? Mais si, cette langue artificielle créée par un linguiste à l'occasion de la série de films Star Trek ! Ils avaient déjà un Wikipedia, un institut linguistique Klingon, une fonte TrueType ad-hoc, et même un code ISO permettant de désigner cette langue de façon très officielle. Très logiquement, voilà maintenant le support du Klingon dans Mozilla. Bon, je ne suis pas sûr que tout cela rende la communauté plus crédible auprès des décideurs de multinationales, mais bon, maintenant qu'il y est, on ne va pas le retirer, hein !