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lundi 6 janvier 2020

En vrac de nouvelle année 2020

Lever de soleil sur Paris, janvier 2020

Meilleurs vœux 2020 pour le(s) lecteur(s) du Standblog !

En vedette : le New York Times sur la surveillance

Article énorme du New York Times : Total Surveillance Is Not What America Signed Up For. Les journalistes ont mis la main sur un fichier recensant les déplacements de plus de douze millions d’américains, avec plus de 50 milliards de coordonnées GPS. Un extrait traduit par mes soins :

En analysant ces coordonnées, nos journalistes ont pu pister les mouvement des gardes du corps de Donald Trump et de personnalités du Pentagone. Ils ont pu suivre des manifestants jusque chez eux et espionner des lycéens de Los Angeles. Dans la plupart des cas, c’était un jeu d’enfant de relier une piste prétendument anonyme à un nom et une adresse, et donc une personne identifiée.  ;

Votre smartphone peut diffuser votre lieu exact des milliers de fois par jour, via des centaines d’apps, instantanément à des dizaines de sociétés. Chacune de ces entreprises a la capacité de suivre individuellement des téléphones où qu’ils soient, quasiment en temps réel. Ça n’est pas un bug dans le système. C’est le système.

Le même New York Times a publié une Visualisation ‘One nation, tracked’ des données récupérées. Extraordinairement révélateur sur la vie de personnes qui devraient pourtant rester discrètes pour des raisons d’État (ou leurs propres opinions politiques ou orientation sexuelle).

En vrac

jeudi 14 décembre 2017

En vrac du jeudi

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Mon témoignage au Tribunal des Générations Futures contre l’accumulation de données personnelles par Google

mardi 20 juin 2017

En vrac du mardi caniculaire

Tristan à moto au col du Mont Cenis

En vedette : déclarations tonitruantes et lois liberticides pour avoir l’air de faire quelque chose contre le terrorisme

c’est clair : si les doits de l’homme nous empêchaient de résoudre les problèmes de l’extrémisme et du terrorisme, nous changerons ces lois pour garder les anglais en sécurité  ;

En vrac

quitte à puiser dans la technologie de son époque le modèle d’un gouvernement, pourquoi emprunter celui des plateformes et des start-up ? (…) Après tout, quitte à puiser un modèle dans ce que nous permet la machine, il y a autre chose. Pourquoi ne pas aller voir quelles formes de gouvernement nous pourrions puiser du logiciel libre (“l’Etat logiciel libre”, ç’aurait de la gueule, non ?) ? Ou même du wiki, comme espace de partage et de co-élaboration (“Le wiki-état”, pas non plus, non ?”) ?

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